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Quel emballage alimentaire conserve le chaud le plus longtemps ?

Servir un repas chaud qui arrive… chaud. C’est la promesse faite à votre destinataire. Pourtant, entre votre cuisine et sa table, la température chute vite. Le coupable est souvent un mauvais choix d’emballage isotherme.

Il ne s’agit pas juste de trouver n’importe quelle lunch box. Il faut choisir la solution qui va réellement conserver la chaleur, la texture et les saveurs de vos repas chauds. Que ce soit pour une soupe, un plat en sauce ou des frites, la lunch box fait toute la différence pour son utilisation.

Ce guide vous aide à y voir clair. Nous allons analyser les matériaux et les designs pour vous permettre de sélectionner l’emballage alimentaire le plus performant pour garder vos aliments au chaud, de la préparation au déjeuner.

Maintenir la température : un enjeu de qualité et de sécurité alimentaire

Un plat chaud qui arrive tiède, c’est une promesse non tenue. Pour le consommateur, l’expérience est immédiatement dégradée. Une sauce qui fige, des frites qui ramollissent, une soupe qui perd son réconfort… La qualité de votre cuisine dépend directement de la température de service. C’est un détail qui change tout.

Mais il ne s’agit pas seulement de saveur ou de texture. Le maintien au chaud est aussi un enjeu de sécurité alimentaire. Un plat qui reste trop longtemps dans la ‘zone à risque’, c’est-à-dire sous les 63°C, favorise le développement des bactéries. Votre responsabilité d’entreprise est de garantir un repas non seulement bon, mais surtout sain.

Le bon emballage est votre meilleur allié pour ça. Il ne sert pas juste à transporter un aliment. Sa fonction première est de conserver le plat à la bonne température, de votre cuisine jusqu’à sa destination finale. C’est un outil qui protège votre produit et votre réputation.

Le choix du matériau, une fermeture bien ajustée, une conception pensée pour l’isolation… chaque détail compte pour garder au chaud le plus longtemps possible. Pour répondre à cet enjeu, il existe une gamme très large d’emballages alimentaires, du simple pot au thermos alimentaire, spécifiquement conçus pour le transport de plats chauds.

Le bon choix de lunch box dépendra de votre type de plat, de la durée du transport et de l’expérience que vous visez. C’est ce que nous allons voir ensemble.

Comparatif des matériaux : lequel garde le mieux la température ?

Le choix du matériau est la première décision à prendre. C’est lui qui va déterminer en grande partie la capacité de votre emballage isotherme à garder un repas chaud. Chaque matériau a ses propres forces. Il n’y a pas une seule bonne réponse, juste la meilleure option pour votre plat et votre service.

Voyons ensemble trois options incontournables pour la vente à emporter chaude.

L’aluminium : un classique efficace pour les plats en sauce

L’aluminium est une valeur sûre. C’est un excellent conducteur thermique, ce qui peut sembler contre-intuitif. Mais une fois fermé avec son opercule, il crée une barrière quasi-hermétique. La vapeur et l’air chaud sont piégés, ce qui maintient la température de manière très efficace, surtout pour les plats humides.

Pensez aux lasagnes, aux gratins, ou aux currys. Les barquettes en aluminium sont parfaites pour ce type de plat. Elles sont rigides, empilables et le destinataire peut souvent réchauffer le repas directement au four. Un bon exemple est le récipient laqué en aluminium, qui combine rigidité et esthétique.

Le carton couché ou ondulé : la solution isotherme polyvalente

Le carton est plus qu’un simple emballage, c’est un isolant naturel. Surtout le carton ondulé, dont les cannelures emprisonnent l’air, créant une barrière thermique. Le carton couché, lui, est traité pour résister aux graisses et à l’humidité, ce qui est indispensable pour les burgers ou les plats en sauce légère.

C’est la solution passe-partout. Idéal pour les boîtes à burger, les barquettes à frites qui doivent rester croustillantes, ou même des modèles de lunch box complètes. Les boîtes américaines micro-ondables en sont une parfaite illustration, une excellente lunch box alliant isolation et praticité. Un bon packaging en carton évite que le produit ne ramollisse à cause de la condensation, un problème fréquent avec des matériaux totalement hermétiques.

La bagasse : l’alternative écologique qui retient la température

La bagasse, c’est de la pulpe de canne à sucre. C’est une matière naturelle dont les fibres denses offrent une excellente isolation. Elle maintient très bien la température tout en étant respirante. Concrètement ? Vos plats chauds ne deviennent pas détrempés.

C’est un choix de plus en plus populaire pour une entreprise sensible à l’écologie et au côté pratique. Les bols en bagasse sont parfaits pour les soupes, les woks ou les salades chaudes. En plus d’être performants, ces emballages en bagasse sont compostables et passent au micro-ondes. C’est un argument de poids pour une clientèle sensible à l’écologie.

Pour vous aider à visualiser, voici un rapide tableau récapitulatif. D’autres options comme l’acier inoxydable (ou inox), souvent utilisé pour un thermos alimentaire ou une lunch box durable à double paroi, le verre ou certains plastique sans BPA, offrent aussi d’excellentes performances isothermes pour une utilisation réutilisable, notamment pour une lunch box bento.

Matériau Maintien Température Idéal pour… Résistance Humidité Écologie
Aluminium Très bonne Plats en sauce, gratins Excellente Recyclable
Carton Bonne Burgers, frites, plats secs Moyenne à Bonne (si traité) Recyclable, biodégradable
Bagasse Très bonne Soupes, woks, plats chauds Bonne Compostable, biodégradable

Le design de la lunch box : un critère aussi important que le matériau

Vous avez choisi le bon matériau ? Parfait. Mais le travail n’est fait qu’à moitié. Un excellent matériau dans un contenant mal pensé, c’est un peu comme un bon chef dans une cuisine sans équipement. Le potentiel est là, mais le résultat ne suivra pas.

La forme de votre emballage, son système de fermeture, sa structure… tout cela joue un rôle direct sur le maintien au chaud. Un bon design ne fait pas que présenter joliment votre plat, il le protège et en conserve la qualité jusqu’à la dernière bouchée.

L’importance de la fermeture pour limiter la déperdition de température

La fermeture est souvent le point faible de l’emballage. C’est par là que la température s’échappe en premier. Un système de fermeture mal ajusté ou non adapté annule tous les bénéfices d’un matériau isolant.

Pensez-y : une fermeture qui ‘baille’ laisse la vapeur et l’air chaud s’enfuir. Pire, il augmente le risque de fuites pendant le transport. C’est un détail qui peut ruiner l’expérience du consommateur. Pour un plat en sauce ou une soupe, un joint parfaitement hermétique est non négociable.

Certains modèles de fermeture sont même dotés de petits trous d’aération. Ce n’est pas un défaut de conception. C’est pensé pour les produits frits, comme les frites ou les nems, pour évacuer la vapeur et éviter qu’ils ne ramollissent. Pour une soupe, en revanche, vous voudrez une fermeture sans aération pour conserver au chaud un maximum de liquide.

Boîtes, pots, gobelets : à chaque plat chaud son contenant adapté

La forme du contenant influence directement la conservation de la température. La règle est simple : moins il y a de surface en contact avec l’air, moins la température se dissipe vite.

Un pot haut et étroit sera toujours plus efficace pour une soupe ou un velouté qu’un bol large et plat. Le volume, la contenance, le poids et le diamètre d’ouverture du modèle de lunch box choisi sont des caractéristiques à ne pas négliger. Pour un plat du jour, comme un tajine ou un curry avec sa garniture, les récipients micro-ondables sont une solution très pratique. Leur système de fermeture est souvent bien ajusté et le destinataire peut réchauffer son repas facilement.

Le choix de la forme dépend de votre plat :

  • Les pots et bols : Parfaits pour les soupes, woks, pâtes en sauce. Leur forme concentre la chaleur au cœur du produit.
  • Les boîtes rectangulaires : Idéales pour les plats principaux comme les gratins, les lasagnes ou un plat complet avec accompagnement. Elles sont stables et faciles à transporter.
  • Les gobelets : Indispensables pour les boissons chaudes comme les cafés ou les chocolats, mais aussi pour certaines soupes à emporter. Un bon gobelet pour boisson chaude doit avoir une paroi épaisse et une fermeture bien ajustée.
  • Les boîtes spécifiques (burger, pizza) : Leur design est étudié pour maintenir la température tout en gérant l’humidité, préservant ainsi la texture du pain ou de la pâte.

Choisir la bonne lunch box, ce n’est pas juste une question d’esthétique. C’est s’assurer que le plat que vous avez préparé avec soin arrive chez votre destinataire tel que vous l’avez imaginé.

Astuces de pro pour prolonger la durée de conservation au chaud

Vous avez le bon matériau et le bon design. C’est la base. Mais pour que votre plat arrive vraiment fumant, quelques réflexes de pro peuvent tout changer pour votre équipe. Ce sont ces détails qui permettent de prolonger le maintien au chaud et de livrer une expérience parfaite.

Voici quelques astuces simples, directement applicables dans votre cuisine.

Préchauffez vos contenants.
C’est un geste qui ne coûte rien mais qui change tout. Mettre un aliment brûlant dans un récipient à température ambiante lui fait perdre de précieux degrés instantanément. Avant de placer une soupe, remplissez le pot d’eau très chaude pendant 30 secondes. Videz, séchez et servez. La différence est réelle.

Remplissez au maximum.
L’air est l’ennemi de la température. Moins il y a d’air dans votre boîte, plus la température sera stable. Un pot à moitié vide se refroidira bien plus vite qu’un pot plein. Pensez donc à toujours adapter la taille de la lunch box à la portion. C’est un critère de choix déterminant. Des modèles comme la lunch box repas à emporter sont conçus avec des volumes standards pour faciliter ce choix.

Emballez au tout dernier moment.
Chaque minute compte. Essayez de synchroniser votre emballage avec l’arrivée du livreur ou le départ de la commande. Plus le temps entre la mise en boîte et la dégustation est court, mieux la température est conservée. C’est une question d’organisation qui a un impact direct sur la qualité perçue par le consommateur.

Pensez au système de transport.
Votre emballage ne voyage pas seul, il est dans un sac. S’il y a trop d’espace vide, l’air circule et refroidit tout. Pour les livraisons ou les prestations exigeantes, il faut une solution globale. Associer vos contenants à un packaging traiteur adapté, comme un sac isotherme, n’est pas un luxe. C’est un outil qui protège la qualité de votre repas jusqu’à la destination finale.

Quel emballage choisir en fonction de votre type de plat ?

Le matériau et le design, c’est bien. Mais la vraie question, c’est : pour quel plat ? Un emballage parfait pour une soupe sera une catastrophe pour des frites. Tout est une question d’adapter la lunch box au contenu. Le but est simple : livrer au consommateur exactement le plat que vous avez imaginé en cuisine, prêt à déguster.

Analysons deux cas concrets que vous rencontrez tous les jours.

Pour les soupes et liquides : priorité à l’étanchéité et l’isothermie

Une soupe, un velouté ou un plat en sauce comme un curry a deux exigences principales. La première, c’est de garder son repas chaud, très chaud. La seconde, c’est de ne pas fuir. C’est non négociable. Une fuite dans le sac de livraison, et c’est toute l’expérience du destinataire qui est ruinée.

Ici, le choix se porte sur un contenant qui combine une excellente isolation thermique et une fermeture parfaitement hermétique. La forme a aussi son importance : un pot haut et moins large conservera la température plus longtemps qu’un bol très évasé, car il y a moins de surface d’échange avec l’air.

Pour un potage, un dahl de lentilles ou un gaspacho chaud, les pots en papier sont une solution idéale. Leur paroi épaisse est conçue pour être isotherme, et leur fermeture, ventilée (pour la vapeur) ou non, est pensée pour se clipser fermement et éviter tout accident. Le récipient en kraft avec sa fermeture est un excellent exemple, offrant à la fois isolation et sécurité. Votre plat arrive chaud et dans son pot, pas au fond du sac.

Pour les plats frits : un emballage qui gère bien l’humidité

L’ennemi numéro un des frites, des nems ou des beignets, ce n’est pas le froid. C’est la vapeur d’eau. Un produit croustillant enfermé dans une boîte hermétique va dégager de l’humidité. Cette humidité, piégée, va immédiatement le ramollir. Le résultat est décevant pour le destinataire.

Pour la friture, il faut un emballage qui respire, souvent en papier ou carton jetable. L’objectif n’est pas de sceller la température, mais de l’évacuer en même temps que la vapeur. C’est ce qui permet de conserver le croustillant du produit. Le carton est le matériau roi pour cet usage. Il absorbe un peu le gras et surtout, il n’est pas totalement étanche à l’air.

Choisissez des barquettes ouvertes, des cornets, ou des boîtes en carton avec des trous d’aération. Des emballages spécialisés comme le gobelet à frites sont conçus spécifiquement pour cet usage. Ne fermez jamais complètement une boîte de frites. C’est le meilleur moyen de livrer des frites molles. Le bon emballage sacrifie un peu de température pour préserver ce qui compte : la texture.

Maintenir la température : un enjeu de qualité et de sécurité alimentaire

Un plat chaud qui arrive tiède, c’est une promesse non tenue. Pour le consommateur, l’expérience est immédiatement dégradée. Une sauce qui fige, des frites qui ramollissent, une soupe qui perd son réconfort… La qualité de votre cuisine dépend directement de la température de service. C’est un détail qui change tout.

Mais il ne s’agit pas seulement de saveur ou de texture. Le maintien au chaud est aussi un enjeu de sécurité alimentaire. Un plat qui reste trop longtemps dans la ‘zone à risque’, c’est-à-dire sous les 63°C, favorise le développement des bactéries. Votre responsabilité d’entreprise est de garantir un repas non seulement bon, mais surtout sain.

Le bon emballage est votre meilleur allié pour ça. Il ne sert pas juste à transporter un aliment. Sa fonction première est de conserver le plat à la bonne température, de votre cuisine jusqu’à sa destination finale. C’est un outil qui protège votre produit et votre réputation.

Le choix du matériau, une fermeture bien ajustée, une conception pensée pour l’isolation… chaque détail compte pour garder au chaud le plus longtemps possible. Pour répondre à cet enjeu, il existe une gamme très large d’emballages alimentaires, du simple pot au thermos alimentaire, spécifiquement conçus pour le transport de plats chauds.

Le bon choix de lunch box dépendra de votre type de plat, de la durée du transport et de l’expérience que vous visez. C’est ce que nous allons voir ensemble.

Comparatif des matériaux : lequel garde le mieux la température ?

Le choix du matériau est la première décision à prendre. C’est lui qui va déterminer en grande partie la capacité de votre emballage isotherme à garder un repas chaud. Chaque matériau a ses propres forces. Il n’y a pas une seule bonne réponse, juste la meilleure option pour votre plat et votre service.

Voyons ensemble trois options incontournables pour la vente à emporter chaude.

L’aluminium : un classique efficace pour les plats en sauce

L’aluminium est une valeur sûre. C’est un excellent conducteur thermique, ce qui peut sembler contre-intuitif. Mais une fois fermé avec son opercule, il crée une barrière quasi-hermétique. La vapeur et l’air chaud sont piégés, ce qui maintient la température de manière très efficace, surtout pour les plats humides.

Pensez aux lasagnes, aux gratins, ou aux currys. Les barquettes en aluminium sont parfaites pour ce type de plat. Elles sont rigides, empilables et le destinataire peut souvent réchauffer le repas directement au four. Un bon exemple est le récipient laqué en aluminium, qui combine rigidité et esthétique.

Le carton couché ou ondulé : la solution isotherme polyvalente

Le carton est plus qu’un simple emballage, c’est un isolant naturel. Surtout le carton ondulé, dont les cannelures emprisonnent l’air, créant une barrière thermique. Le carton couché, lui, est traité pour résister aux graisses et à l’humidité, ce qui est indispensable pour les burgers ou les plats en sauce légère.

C’est la solution passe-partout. Idéal pour les boîtes à burger, les barquettes à frites qui doivent rester croustillantes, ou même des modèles de lunch box complètes. Les boîtes américaines micro-ondables en sont une parfaite illustration, une excellente lunch box alliant isolation et praticité. Un bon packaging en carton évite que le produit ne ramollisse à cause de la condensation, un problème fréquent avec des matériaux totalement hermétiques.

La bagasse : l’alternative écologique qui retient la température

La bagasse, c’est de la pulpe de canne à sucre. C’est une matière naturelle dont les fibres denses offrent une excellente isolation. Elle maintient très bien la température tout en étant respirante. Concrètement ? Vos plats chauds ne deviennent pas détrempés.

C’est un choix de plus en plus populaire pour une entreprise sensible à l’écologie et au côté pratique. Les bols en bagasse sont parfaits pour les soupes, les woks ou les salades chaudes. En plus d’être performants, ces emballages en bagasse sont compostables et passent au micro-ondes. C’est un argument de poids pour une clientèle sensible à l’écologie.

Pour vous aider à visualiser, voici un rapide tableau récapitulatif. D’autres options comme l’acier inoxydable (ou inox), souvent utilisé pour un thermos alimentaire ou une lunch box durable à double paroi, le verre ou certains plastique sans BPA, offrent aussi d’excellentes performances isothermes pour une utilisation réutilisable, notamment pour une lunch box bento.

Matériau Maintien Température Idéal pour… Résistance Humidité Écologie
Aluminium Très bonne Plats en sauce, gratins Excellente Recyclable
Carton Bonne Burgers, frites, plats secs Moyenne à Bonne (si traité) Recyclable, biodégradable
Bagasse Très bonne Soupes, woks, plats chauds Bonne Compostable, biodégradable

Le design de la lunch box : un critère aussi important que le matériau

Vous avez choisi le bon matériau ? Parfait. Mais le travail n’est fait qu’à moitié. Un excellent matériau dans un contenant mal pensé, c’est un peu comme un bon chef dans une cuisine sans équipement. Le potentiel est là, mais le résultat ne suivra pas.

La forme de votre emballage, son système de fermeture, sa structure… tout cela joue un rôle direct sur le maintien au chaud. Un bon design ne fait pas que présenter joliment votre plat, il le protège et en conserve la qualité jusqu’à la dernière bouchée.

L’importance de la fermeture pour limiter la déperdition de température

La fermeture est souvent le point faible de l’emballage. C’est par là que la température s’échappe en premier. Un système de fermeture mal ajusté ou non adapté annule tous les bénéfices d’un matériau isolant.

Pensez-y : une fermeture qui ‘baille’ laisse la vapeur et l’air chaud s’enfuir. Pire, il augmente le risque de fuites pendant le transport. C’est un détail qui peut ruiner l’expérience du consommateur. Pour un plat en sauce ou une soupe, un joint parfaitement hermétique est non négociable.

Certains modèles de fermeture sont même dotés de petits trous d’aération. Ce n’est pas un défaut de conception. C’est pensé pour les produits frits, comme les frites ou les nems, pour évacuer la vapeur et éviter qu’ils ne ramollissent. Pour une soupe, en revanche, vous voudrez une fermeture sans aération pour conserver au chaud un maximum de liquide.

Boîtes, pots, gobelets : à chaque plat chaud son contenant adapté

La forme du contenant influence directement la conservation de la température. La règle est simple : moins il y a de surface en contact avec l’air, moins la température se dissipe vite.

Un pot haut et étroit sera toujours plus efficace pour une soupe ou un velouté qu’un bol large et plat. Le volume, la contenance, le poids et le diamètre d’ouverture du modèle de lunch box choisi sont des caractéristiques à ne pas négliger. Pour un plat du jour, comme un tajine ou un curry avec sa garniture, les récipients micro-ondables sont une solution très pratique. Leur système de fermeture est souvent bien ajusté et le destinataire peut réchauffer son repas facilement.

Le choix de la forme dépend de votre plat :

  • Les pots et bols : Parfaits pour les soupes, woks, pâtes en sauce. Leur forme concentre la chaleur au cœur du produit.
  • Les boîtes rectangulaires : Idéales pour les plats principaux comme les gratins, les lasagnes ou un plat complet avec accompagnement. Elles sont stables et faciles à transporter.
  • Les gobelets : Indispensables pour les boissons chaudes comme les cafés ou les chocolats, mais aussi pour certaines soupes à emporter. Un bon gobelet pour boisson chaude doit avoir une paroi épaisse et une fermeture bien ajustée.
  • Les boîtes spécifiques (burger, pizza) : Leur design est étudié pour maintenir la température tout en gérant l’humidité, préservant ainsi la texture du pain ou de la pâte.

Choisir la bonne lunch box, ce n’est pas juste une question d’esthétique. C’est s’assurer que le plat que vous avez préparé avec soin arrive chez votre destinataire tel que vous l’avez imaginé.

Astuces de pro pour prolonger la durée de conservation au chaud

Vous avez le bon matériau et le bon design. C’est la base. Mais pour que votre plat arrive vraiment fumant, quelques réflexes de pro peuvent tout changer pour votre équipe. Ce sont ces détails qui permettent de prolonger le maintien au chaud et de livrer une expérience parfaite.

Voici quelques astuces simples, directement applicables dans votre cuisine.

Préchauffez vos contenants.
C’est un geste qui ne coûte rien mais qui change tout. Mettre un aliment brûlant dans un récipient à température ambiante lui fait perdre de précieux degrés instantanément. Avant de placer une soupe, remplissez le pot d’eau très chaude pendant 30 secondes. Videz, séchez et servez. La différence est réelle.

Remplissez au maximum.
L’air est l’ennemi de la température. Moins il y a d’air dans votre boîte, plus la température sera stable. Un pot à moitié vide se refroidira bien plus vite qu’un pot plein. Pensez donc à toujours adapter la taille de la lunch box à la portion. C’est un critère de choix déterminant. Des modèles comme la lunch box repas à emporter sont conçus avec des volumes standards pour faciliter ce choix.

Emballez au tout dernier moment.
Chaque minute compte. Essayez de synchroniser votre emballage avec l’arrivée du livreur ou le départ de la commande. Plus le temps entre la mise en boîte et la dégustation est court, mieux la température est conservée. C’est une question d’organisation qui a un impact direct sur la qualité perçue par le consommateur.

Pensez au système de transport.
Votre emballage ne voyage pas seul, il est dans un sac. S’il y a trop d’espace vide, l’air circule et refroidit tout. Pour les livraisons ou les prestations exigeantes, il faut une solution globale. Associer vos contenants à un packaging traiteur adapté, comme un sac isotherme, n’est pas un luxe. C’est un outil qui protège la qualité de votre repas jusqu’à la destination finale.

Quel emballage choisir en fonction de votre type de plat ?

Le matériau et le design, c’est bien. Mais la vraie question, c’est : pour quel plat ? Un emballage parfait pour une soupe sera une catastrophe pour des frites. Tout est une question d’adapter la lunch box au contenu. Le but est simple : livrer au consommateur exactement le plat que vous avez imaginé en cuisine, prêt à déguster.

Analysons deux cas concrets que vous rencontrez tous les jours.

Pour les soupes et liquides : priorité à l’étanchéité et l’isothermie

Une soupe, un velouté ou un plat en sauce comme un curry a deux exigences principales. La première, c’est de garder son repas chaud, très chaud. La seconde, c’est de ne pas fuir. C’est non négociable. Une fuite dans le sac de livraison, et c’est toute l’expérience du destinataire qui est ruinée.

Ici, le choix se porte sur un contenant qui combine une excellente isolation thermique et une fermeture parfaitement hermétique. La forme a aussi son importance : un pot haut et moins large conservera la température plus longtemps qu’un bol très évasé, car il y a moins de surface d’échange avec l’air.

Pour un potage, un dahl de lentilles ou un gaspacho chaud, les pots en papier sont une solution idéale. Leur paroi épaisse est conçue pour être isotherme, et leur fermeture, ventilée (pour la vapeur) ou non, est pensée pour se clipser fermement et éviter tout accident. Le récipient en kraft avec sa fermeture est un excellent exemple, offrant à la fois isolation et sécurité. Votre plat arrive chaud et dans son pot, pas au fond du sac.

Pour les plats frits : un emballage qui gère bien l’humidité

L’ennemi numéro un des frites, des nems ou des beignets, ce n’est pas le froid. C’est la vapeur d’eau. Un produit croustillant enfermé dans une boîte hermétique va dégager de l’humidité. Cette humidité, piégée, va immédiatement le ramollir. Le résultat est décevant pour le destinataire.

Pour la friture, il faut un emballage qui respire, souvent en papier ou carton jetable. L’objectif n’est pas de sceller la température, mais de l’évacuer en même temps que la vapeur. C’est ce qui permet de conserver le croustillant du produit. Le carton est le matériau roi pour cet usage. Il absorbe un peu le gras et surtout, il n’est pas totalement étanche à l’air.

Choisissez des barquettes ouvertes, des cornets, ou des boîtes en carton avec des trous d’aération. Des emballages spécialisés comme le gobelet à frites sont conçus spécifiquement pour cet usage. Ne fermez jamais complètement une boîte de frites. C’est le meilleur moyen de livrer des frites molles. Le bon emballage sacrifie un peu de température pour préserver ce qui compte : la texture.

FAQ – Questions fréquentes

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Quel est le meilleur matériau pour garder mes plats bien chauds, sans compromis ?

C’est une super question, et la réponse dépend un peu de ce que tu sers ! Tu sais, il n’y a pas un seul ‘meilleur’ absolu, mais plutôt celui qui est parfait pour ton plat.

  • Pour les plats en sauce, les gratins, tout ce qui est bien humide, l’aluminium est imbattable. Il piège super bien la chaleur et l’humidité. En plus, tes clients peuvent le passer directement au four. C’est pratique, non ?
  • Si tu as des burgers, des frites, ou des plats un peu moins ‘liquides’, le carton est top. Surtout le carton ondulé, il isole bien grâce à l’air qu’il emprisonne. Et il gère mieux la vapeur pour que ça ne ramollisse pas trop vite.
  • Et puis, pour les soupes, les woks, ou les plats chauds qui respirent un peu, la bagasse, c’est génial. Elle garde bien la chaleur et en plus, elle est compostable. Ça, c’est un vrai plus pour l’image de ton établissement.

Retiens que le couvercle est aussi crucial que le matériau. Un couvercle qui ferme bien, c’est la moitié du travail de fait pour garder la chaleur.

Mes frites ou nems arrivent toujours mous. Comment les garder croustillants ?

Ah, les frites molles, c’est le cauchemar de tout restaurateur ! On a tous eu ce client déçu. Tu sais, le coupable, ce n’est pas le froid, mais la vapeur d’eau. Quand tes frites chaudes sont enfermées, elles transpirent. Cette humidité reste piégée et ramollit tout.

La solution, c’est d’utiliser des emballages qui ‘respirent’.

Le carton est ton meilleur ami ici. Il absorbe un peu le gras et surtout, il n’est pas complètement hermétique. L’air peut circuler, et la vapeur s’échappe.

  • Choisis des barquettes ouvertes ou des boîtes avec des trous d’aération.
  • Et surtout, ne ferme jamais complètement une boîte de frites ou de nems. Laisse un petit espace, même si ça semble contre-intuitif pour la chaleur.

C’est un petit compromis sur la température, mais ça garantit que tes produits frits restent bien croustillants. C’est ça qui fait la différence pour le client, non ?

Est-ce que les emballages écologiques peuvent vraiment tenir la chaleur aussi bien que les autres ?

C’est une excellente question, et oui, ils le peuvent tout à fait ! Avant, on pensait que ‘écologique’ rimait avec moins performant, mais les choses ont bien changé.

Prends la bagasse, par exemple. On en parlait juste avant. C’est fait à partir de pulpe de canne à sucre, et c’est une matière hyper dense. Ça veut dire qu’elle isole super bien la chaleur, un peu comme une petite couverture pour ton plat. Tes soupes, tes woks, ou tes plats chauds restent à la bonne température sans devenir détrempés.

En plus d’être une championne pour la chaleur, la bagasse est compostable. Ça, c’est un énorme avantage pour l’environnement et pour répondre aux attentes de tes clients. Tu peux même trouver d’autres emballages compostables pour d’autres usages.

Alors oui, choisir un emballage éco-responsable, ce n’est plus sacrifier la qualité. C’est faire un choix malin pour ta cuisine et pour la planète !

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