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Le cuit-vapeur en bambou. Loin d’être un ustensile de cuisine ordinaire, cet objet originaire de Chine, à la longue histoire, est un atout pour préserver la saveur et la texture de vos aliments. De la préparation des légumes au moelleux des dim sum, ce mode de cuisson traditionnel est au cœur de la cuisine chinoise et de nombreux plats d’Asie.
Mais pour un usage professionnel, le choix d’un modèle durable est une décision réfléchie. Quelle taille de panier choisir parmi la variété disponible ? Comment s’assurer de sa qualité pour un usage quotidien ? Comment l’utiliser et l’entretenir pour chaque recette de boulette ou de ravioli ?
Ce guide est conçu pour vous. Nous allons voir ensemble comment sélectionner le cuiseur vapeur en bambou, ou steamer, qui correspond à vos besoins, afin de garantir un repas savoureux et une présentation authentique à vos clients, dans la pure tradition du Yum Cha.
Passer au cuit-vapeur en bambou n’est pas juste un retour aux sources. C’est un choix stratégique pour votre cuisine. Son histoire remonte à l’époque de la dynastie Han en Chine, et sa popularité n’a cessé de croître dans le monde entier. Il touche à la fois la qualité de vos plats et l’image que vous renvoyez. Voyons ça de plus près.
La cuisine à la vapeur est douce. Elle cuit les aliments sans les agresser. Le résultat ? Les légumes gardent leur croquant et leurs couleurs vives. Le poisson reste tendre et ne se dessèche pas. Vous préservez les nutriments et les saveurs originelles de chaque aliment.
Contrairement aux cuiseurs en métal, le bambou a un avantage unique : il absorbe l’excès d’humidité. La vapeur circule, cuit, mais l’eau de condensation ne retombe pas sur vos préparations. Fini les raviolis ou les bouchées vapeurs détrempés. La texture est idéale.
Cette méthode permet aussi de limiter l’ajout d’huile ou de matières grasses. Un argument de poids pour une clientèle attentive à son alimentation. Vous proposez des plats plus sains, plus légers, sans sacrifier le goût.
Le bambou est plus qu’un simple bois. C’est une ressource qui pousse très vite, ce qui en fait un choix écologique et renouvelable. Pour un établissement soucieux de son impact, c’est un point qui compte.
Au-delà de l’aspect écologique, le cuit-vapeur en bambou est léger et maniable. Il est aussi esthétique. Imaginez le service : vous pouvez amener les paniers directement à table. Cela crée une expérience authentique pour le client, surtout pour des plats comme les dim sum, spécialités de la cuisine de Canton et de Hong Kong.
C’est un ustensile polyvalent. En empilant les paniers, vous pouvez cuire plusieurs aliments en même temps, chacun dans son propre étage. Le choix de la bonne taille fait alors la différence pour un service fluide. Notre gamme de cuit-vapeurs en bambou propose justement plusieurs dimensions pour s’adapter à vos besoins, que ce soit pour des portions individuelles ou de grands plats à partager.
D’accord, vous êtes convaincu par la cuisson vapeur. Maintenant, passons au concret. Tous les paniers en bambou ne se valent pas, surtout quand on parle d’un usage intensif en cuisine professionnelle. Le diable se cache dans les détails : la taille, le nombre d’étages, la qualité du matériau… Voyons comment faire le bon choix.
La première question à se poser est directe : qu’allez-vous cuisiner, et pour combien de personnes ? La réponse déterminera la taille de votre cuiseur vapeur.
La dimension du panier est votre point de départ. Elle doit être adaptée à la fois à vos portions et à vos casseroles ou woks.
Ensuite, le nombre d’étages. L’avantage d’empiler les paniers est de pouvoir cuire différents aliments en même temps, en économisant l’énergie et le temps. Vous pouvez placer les aliments qui demandent le plus de cuisson en bas, au plus près de la vapeur, et les plus délicats en haut. Deux ou trois étages, c’est généralement un bon équilibre pour une cuisson homogène.
La durabilité de votre panier vapeur dépend directement de sa fabrication. Pour un usage pro, on ne peut pas faire de compromis sur la qualité. Un panier bas de gamme se déformera vite avec la chaleur et l’humidité.
Voici quelques points à vérifier :
La structure tressée du bambou doit être serrée et régulière. Chaque lamelle est tissée à la main. S’il y a des jours importants entre les lattes, la vapeur s’échappera et le panier sera fragile. La structure doit être rigide, bien assemblée. Privilégiez les paniers fabriqués tenus par des liens en bambou plutôt que par un clou ou des agrafes en métal qui peuvent rouiller.
L’épaisseur des parois est aussi un bon indicateur. Des parois plus épaisses isolent mieux et résistent davantage à la déformation. Enfin, fiez-vous à votre odorat. Un bon panier en bambou a une odeur fraîche et naturelle. Toute odeur chimique doit vous alerter.
Investir dans un bon matériel de haute qualité, c’est s’assurer d’un service fluide et d’une présentation impeccable. Un cuiseur vapeur de qualité s’intègre parfaitement dans une offre de cuisine asiatique authentique, au même titre que de bons ustensiles à sushis ou une vaisselle adaptée. Ce sont ces détails qui font la différence.
Vous avez choisi votre panier en bambou. C’est un bon début. Mais pour vraiment en tirer le meilleur, il y a quelques gestes à connaître. Ce n’est pas compliqué, mais ça change tout sur le résultat final dans l’assiette. Voyons comment passer de la théorie à une pratique efficace en cuisine.
Un cuit-vapeur neuf a besoin d’une petite préparation. Ne sautez pas cette étape. Elle permet de retirer la poussière de bambou, d’atténuer son odeur naturelle et surtout, d’hydrater les fibres pour qu’il résiste mieux à la chaleur.
La méthode est directe. Voici comment faire :
Cette préparation le rendra plus souple et plus résistant pour encaisser les services à venir. C’est un investissement de temps minime pour la longévité de votre matériel.
Le principe de ce mode de cuisson est direct : le panier doit être au-dessus de l’eau bouillante, jamais en contact direct avec elle. L’eau doit frémir, pas bouillir à gros bouillons, pour une vapeur constante et douce.
Pour les légumes :
Le secret d’une cuisson vapeur réussie pour les légumes, c’est l’uniformité. Coupez vos carottes, brocolis ou courgettes en morceaux de taille égale. Placez les légumes les plus fermes, qui demandent plus de cuisson, dans le panier du bas. Les plus délicats, comme les épinards, iront dans le panier supérieur, ajoutés en fin de cuisson.
Pour les dim sum, raviolis et bouchées :
Le défi ici, c’est d’éviter que la pâte ne colle au bambou. Une bouchée au porc haché déchirée, c’est une perte et une mauvaise présentation. La solution la plus propre et la plus rapide en service est d’utiliser une protection.
Pour cela, les papiers perforés ingraissables sont l’accessoire idéal. Ils sont faits pour ça : ils laissent circuler la vapeur tout en protégeant vos préparations. Vous gagnez du temps au nettoyage et assurez une présentation parfaite. Il en existe de toutes les tailles, comme des petits formats pour paniers individuels, des modèles intermédiaires ou des plus grands pour les cuissons en volume.
Pour le poisson :
La cuisson vapeur est idéale pour le poisson, elle préserve sa texture délicate. Pour un filet, posez-le sur un lit de rondelles de gingembre et de ciboule. La vapeur va infuser les arômes directement dans la chair. Pour un poisson entier, placez quelques herbes à l’intérieur et vérifiez la cuisson près de l’arête. La chair doit se détacher sans effort.
Un cuit-vapeur en bambou est un équipement de travail. Comme tout bon équipement, il demande un minimum d’attention pour durer. Le bambou est un matériau naturel. Il vit, il respire, il réagit à la chaleur et à l’humidité. Quelques gestes permettent de prolonger la vie de votre cuit-vapeur et de le garder impeccable service après service.
Pas besoin de produits compliqués. Juste les bonnes habitudes.
La règle d’or : ne laissez pas les restes d’aliments sécher dans le panier. Plus vous agissez vite, plus le nettoyage est facile. Juste après l’utilisation, une fois qu’il a un peu refroidi, grattez les plus gros morceaux.
Ensuite, passez-le sous l’eau chaude. Une brosse douce ou une éponge suffisent. Frottez doucement pour décoller les résidus.
Attention, un point important :
N’utilisez jamais de liquide vaisselle ou de détergent. Jamais. Le bambou est poreux, il absorberait le savon et pourrait donner un goût chimique à vos prochaines cuissons. L’eau chaude est votre meilleure alliée.
Si des aliments ont vraiment collé, vous pouvez laisser tremper le panier dans de l’eau chaude pendant quelques minutes. Mais pas des heures. Puis rincez abondamment. C’est tout.
L’ennemi numéro un du bambou, c’est l’humidité stagnante. Un panier mal séché développera des moisissures et de mauvaises odeurs. Inutilisable en cuisine.
Le séchage est donc l’étape qui fait toute la différence. Une fois nettoyé, laissez votre cuiseur sécher à l’air libre, dans un endroit bien ventilé. Assurez-vous qu’il soit complètement sec avant de le ranger. Vous pouvez le poser sur le côté pour que l’air circule partout.
Ne l’enfermez jamais dans un sac plastique ou un placard humide. Stockez-le dans un endroit sec, à l’abri de la poussière.
Avec le temps, des odeurs tenaces peuvent apparaître, surtout après avoir cuit du poisson ou des viandes à la saveur de fumée. Pour y remédier :
Prendre soin de son matériel en bambou devient vite une seconde nature. C’est la même logique que pour l’entretien de vos bols en bambou ou autres ustensiles en matériau naturel. Un peu de soin pour beaucoup de durabilité.
Quand on pense panier vapeur, on pense dim sum. C’est normal. Mais cet équipement peut faire bien plus. S’arrêter à cette seule utilisation, c’est ignorer une bonne partie de son potentiel pour votre cuisine.
Cet ustensile est en réalité un couteau suisse de la cuisson douce. Il peut vous aider sur une grande variété de plats, du salé au sucré, et même pour des gestes que vous n’imaginez pas.
Quelques exemples concrets.
Poissons et fruits de mer délicats : Oubliez la poêle qui peut dessécher. Un filet de bar, un dos de cabillaud ou quelques gambas, posés sur un lit de citronnelle et de gingembre. La vapeur cuit la chair en douceur, la garde moelleuse et l’infuse de saveurs. C’est une technique directe pour un résultat net et une texture idéale.
Légumes croquants et colorés : Pour vos garnitures ou vos buffets, c’est l’équipement idéal. Asperges, haricots verts, fleurettes de brocoli. La cuisson vapeur préserve leur couleur vive et leur croquant. Le temps de cuisson est court et préserve les nutriments. Fini les légumes ternes et gorgés d’eau. Vous pouvez cuire plusieurs légumes en même temps grâce aux étages, un gain de temps non négligeable.
Viandes blanches et volailles : Un blanc de poulet cuit à la vapeur reste tendre et juteux, idéal pour être émincé dans une salade ou un sandwich. C’est aussi une excellente technique pour réchauffer des viandes déjà cuites ou cuire du riz gluant sans les agresser ni altérer leur texture.
Et même pour le pain.
Oui, pour réhydrater des pains ou des brioches de la veille. Quelques minutes à la vapeur et ils retrouvent un moelleux incroyable, comme s’ils sortaient du four. Une astuce très utile pour le service du petit-déjeuner en hôtellerie ou pour limiter les pertes.
Enfin, pensez aux desserts. Des fruits pochés à la vapeur comme des poires ou des pêches avec des épices, ou même des petits flans et crèmes prises. La cuisson est si douce qu’elle respecte les textures les plus fragiles.
Le cuit-vapeur n’est pas juste un ustensile pour une seule recette, c’est une méthode de cuisson à part entière. Un investissement minime pour une grande polyvalence en cuisine. Aujourd’hui, cet ustensile est devenu un standard dans les cuisines du monde entier, de Hong Kong à New York.
Passer au cuit-vapeur en bambou n’est pas juste un retour aux sources. C’est un choix stratégique pour votre cuisine. Son histoire remonte à l’époque de la dynastie Han en Chine, et sa popularité n’a cessé de croître dans le monde entier. Il touche à la fois la qualité de vos plats et l’image que vous renvoyez. Voyons ça de plus près.
La cuisine à la vapeur est douce. Elle cuit les aliments sans les agresser. Le résultat ? Les légumes gardent leur croquant et leurs couleurs vives. Le poisson reste tendre et ne se dessèche pas. Vous préservez les nutriments et les saveurs originelles de chaque aliment.
Contrairement aux cuiseurs en métal, le bambou a un avantage unique : il absorbe l’excès d’humidité. La vapeur circule, cuit, mais l’eau de condensation ne retombe pas sur vos préparations. Fini les raviolis ou les bouchées vapeurs détrempés. La texture est idéale.
Cette méthode permet aussi de limiter l’ajout d’huile ou de matières grasses. Un argument de poids pour une clientèle attentive à son alimentation. Vous proposez des plats plus sains, plus légers, sans sacrifier le goût.
Le bambou est plus qu’un simple bois. C’est une ressource qui pousse très vite, ce qui en fait un choix écologique et renouvelable. Pour un établissement soucieux de son impact, c’est un point qui compte.
Au-delà de l’aspect écologique, le cuit-vapeur en bambou est léger et maniable. Il est aussi esthétique. Imaginez le service : vous pouvez amener les paniers directement à table. Cela crée une expérience authentique pour le client, surtout pour des plats comme les dim sum, spécialités de la cuisine de Canton et de Hong Kong.
C’est un ustensile polyvalent. En empilant les paniers, vous pouvez cuire plusieurs aliments en même temps, chacun dans son propre étage. Le choix de la bonne taille fait alors la différence pour un service fluide. Notre gamme de cuit-vapeurs en bambou propose justement plusieurs dimensions pour s’adapter à vos besoins, que ce soit pour des portions individuelles ou de grands plats à partager.
D’accord, vous êtes convaincu par la cuisson vapeur. Maintenant, passons au concret. Tous les paniers en bambou ne se valent pas, surtout quand on parle d’un usage intensif en cuisine professionnelle. Le diable se cache dans les détails : la taille, le nombre d’étages, la qualité du matériau… Voyons comment faire le bon choix.
La première question à se poser est directe : qu’allez-vous cuisiner, et pour combien de personnes ? La réponse déterminera la taille de votre cuiseur vapeur.
La dimension du panier est votre point de départ. Elle doit être adaptée à la fois à vos portions et à vos casseroles ou woks.
Ensuite, le nombre d’étages. L’avantage d’empiler les paniers est de pouvoir cuire différents aliments en même temps, en économisant l’énergie et le temps. Vous pouvez placer les aliments qui demandent le plus de cuisson en bas, au plus près de la vapeur, et les plus délicats en haut. Deux ou trois étages, c’est généralement un bon équilibre pour une cuisson homogène.
La durabilité de votre panier vapeur dépend directement de sa fabrication. Pour un usage pro, on ne peut pas faire de compromis sur la qualité. Un panier bas de gamme se déformera vite avec la chaleur et l’humidité.
Voici quelques points à vérifier :
La structure tressée du bambou doit être serrée et régulière. Chaque lamelle est tissée à la main. S’il y a des jours importants entre les lattes, la vapeur s’échappera et le panier sera fragile. La structure doit être rigide, bien assemblée. Privilégiez les paniers fabriqués tenus par des liens en bambou plutôt que par un clou ou des agrafes en métal qui peuvent rouiller.
L’épaisseur des parois est aussi un bon indicateur. Des parois plus épaisses isolent mieux et résistent davantage à la déformation. Enfin, fiez-vous à votre odorat. Un bon panier en bambou a une odeur fraîche et naturelle. Toute odeur chimique doit vous alerter.
Investir dans un bon matériel de haute qualité, c’est s’assurer d’un service fluide et d’une présentation impeccable. Un cuiseur vapeur de qualité s’intègre parfaitement dans une offre de cuisine asiatique authentique, au même titre que de bons ustensiles à sushis ou une vaisselle adaptée. Ce sont ces détails qui font la différence.
Vous avez choisi votre panier en bambou. C’est un bon début. Mais pour vraiment en tirer le meilleur, il y a quelques gestes à connaître. Ce n’est pas compliqué, mais ça change tout sur le résultat final dans l’assiette. Voyons comment passer de la théorie à une pratique efficace en cuisine.
Un cuit-vapeur neuf a besoin d’une petite préparation. Ne sautez pas cette étape. Elle permet de retirer la poussière de bambou, d’atténuer son odeur naturelle et surtout, d’hydrater les fibres pour qu’il résiste mieux à la chaleur.
La méthode est directe. Voici comment faire :
Cette préparation le rendra plus souple et plus résistant pour encaisser les services à venir. C’est un investissement de temps minime pour la longévité de votre matériel.
Le principe de ce mode de cuisson est direct : le panier doit être au-dessus de l’eau bouillante, jamais en contact direct avec elle. L’eau doit frémir, pas bouillir à gros bouillons, pour une vapeur constante et douce.
Pour les légumes :
Le secret d’une cuisson vapeur réussie pour les légumes, c’est l’uniformité. Coupez vos carottes, brocolis ou courgettes en morceaux de taille égale. Placez les légumes les plus fermes, qui demandent plus de cuisson, dans le panier du bas. Les plus délicats, comme les épinards, iront dans le panier supérieur, ajoutés en fin de cuisson.
Pour les dim sum, raviolis et bouchées :
Le défi ici, c’est d’éviter que la pâte ne colle au bambou. Une bouchée au porc haché déchirée, c’est une perte et une mauvaise présentation. La solution la plus propre et la plus rapide en service est d’utiliser une protection.
Pour cela, les papiers perforés ingraissables sont l’accessoire idéal. Ils sont faits pour ça : ils laissent circuler la vapeur tout en protégeant vos préparations. Vous gagnez du temps au nettoyage et assurez une présentation parfaite. Il en existe de toutes les tailles, comme des petits formats pour paniers individuels, des modèles intermédiaires ou des plus grands pour les cuissons en volume.
Pour le poisson :
La cuisson vapeur est idéale pour le poisson, elle préserve sa texture délicate. Pour un filet, posez-le sur un lit de rondelles de gingembre et de ciboule. La vapeur va infuser les arômes directement dans la chair. Pour un poisson entier, placez quelques herbes à l’intérieur et vérifiez la cuisson près de l’arête. La chair doit se détacher sans effort.
Un cuit-vapeur en bambou est un équipement de travail. Comme tout bon équipement, il demande un minimum d’attention pour durer. Le bambou est un matériau naturel. Il vit, il respire, il réagit à la chaleur et à l’humidité. Quelques gestes permettent de prolonger la vie de votre cuit-vapeur et de le garder impeccable service après service.
Pas besoin de produits compliqués. Juste les bonnes habitudes.
La règle d’or : ne laissez pas les restes d’aliments sécher dans le panier. Plus vous agissez vite, plus le nettoyage est facile. Juste après l’utilisation, une fois qu’il a un peu refroidi, grattez les plus gros morceaux.
Ensuite, passez-le sous l’eau chaude. Une brosse douce ou une éponge suffisent. Frottez doucement pour décoller les résidus.
Attention, un point important :
N’utilisez jamais de liquide vaisselle ou de détergent. Jamais. Le bambou est poreux, il absorberait le savon et pourrait donner un goût chimique à vos prochaines cuissons. L’eau chaude est votre meilleure alliée.
Si des aliments ont vraiment collé, vous pouvez laisser tremper le panier dans de l’eau chaude pendant quelques minutes. Mais pas des heures. Puis rincez abondamment. C’est tout.
L’ennemi numéro un du bambou, c’est l’humidité stagnante. Un panier mal séché développera des moisissures et de mauvaises odeurs. Inutilisable en cuisine.
Le séchage est donc l’étape qui fait toute la différence. Une fois nettoyé, laissez votre cuiseur sécher à l’air libre, dans un endroit bien ventilé. Assurez-vous qu’il soit complètement sec avant de le ranger. Vous pouvez le poser sur le côté pour que l’air circule partout.
Ne l’enfermez jamais dans un sac plastique ou un placard humide. Stockez-le dans un endroit sec, à l’abri de la poussière.
Avec le temps, des odeurs tenaces peuvent apparaître, surtout après avoir cuit du poisson ou des viandes à la saveur de fumée. Pour y remédier :
Prendre soin de son matériel en bambou devient vite une seconde nature. C’est la même logique que pour l’entretien de vos bols en bambou ou autres ustensiles en matériau naturel. Un peu de soin pour beaucoup de durabilité.
Quand on pense panier vapeur, on pense dim sum. C’est normal. Mais cet équipement peut faire bien plus. S’arrêter à cette seule utilisation, c’est ignorer une bonne partie de son potentiel pour votre cuisine.
Cet ustensile est en réalité un couteau suisse de la cuisson douce. Il peut vous aider sur une grande variété de plats, du salé au sucré, et même pour des gestes que vous n’imaginez pas.
Quelques exemples concrets.
Poissons et fruits de mer délicats : Oubliez la poêle qui peut dessécher. Un filet de bar, un dos de cabillaud ou quelques gambas, posés sur un lit de citronnelle et de gingembre. La vapeur cuit la chair en douceur, la garde moelleuse et l’infuse de saveurs. C’est une technique directe pour un résultat net et une texture idéale.
Légumes croquants et colorés : Pour vos garnitures ou vos buffets, c’est l’équipement idéal. Asperges, haricots verts, fleurettes de brocoli. La cuisson vapeur préserve leur couleur vive et leur croquant. Le temps de cuisson est court et préserve les nutriments. Fini les légumes ternes et gorgés d’eau. Vous pouvez cuire plusieurs légumes en même temps grâce aux étages, un gain de temps non négligeable.
Viandes blanches et volailles : Un blanc de poulet cuit à la vapeur reste tendre et juteux, idéal pour être émincé dans une salade ou un sandwich. C’est aussi une excellente technique pour réchauffer des viandes déjà cuites ou cuire du riz gluant sans les agresser ni altérer leur texture.
Et même pour le pain.
Oui, pour réhydrater des pains ou des brioches de la veille. Quelques minutes à la vapeur et ils retrouvent un moelleux incroyable, comme s’ils sortaient du four. Une astuce très utile pour le service du petit-déjeuner en hôtellerie ou pour limiter les pertes.
Enfin, pensez aux desserts. Des fruits pochés à la vapeur comme des poires ou des pêches avec des épices, ou même des petits flans et crèmes prises. La cuisson est si douce qu’elle respecte les textures les plus fragiles.
Le cuit-vapeur n’est pas juste un ustensile pour une seule recette, c’est une méthode de cuisson à part entière. Un investissement minime pour une grande polyvalence en cuisine. Aujourd’hui, cet ustensile est devenu un standard dans les cuisines du monde entier, de Hong Kong à New York.
En fait, intégrer le cuit-vapeur en bambou, ce n’est pas juste une tendance. C’est un vrai plus pour votre cuisine, et pour vos clients.
D’abord, pour la qualité des plats. La vapeur, ça cuit tout en douceur. Vos légumes gardent leurs couleurs, leur croquant. Vos poissons restent super tendres. En plus, le bambou, il absorbe l’excès d’humidité. Ça veut dire que vos dim sum ou vos bouchées vapeur ne seront jamais détrempées. La texture est toujours top ! Et puis, vous savez, c’est une cuisson plus saine, avec moins de matières grasses. Les clients font de plus en plus attention à ça.
Ensuite, c’est pour l’expérience client. Quand vous servez des plats directement dans ces jolis paniers en bambou, ça a tout de suite un côté plus authentique, plus naturel. Ça change de la vaisselle habituelle et ça marque les esprits. C’est une façon de montrer que vous êtes attentif aux détails et que vous proposez des produits naturels. Vous pouvez jeter un œil à notre gamme de cuit-vapeurs en bambou pour voir les différentes tailles et comment ils peuvent s’adapter à votre service.
Alors, pour un usage pro, le choix, c’est important. Ce n’est pas juste un petit gadget, c’est un outil de travail qui doit tenir la route.
Le premier point, c’est le diamètre et le nombre d’étages. Pensez à ce que vous allez cuire. Des portions individuelles de dim sum ? Des grands poissons entiers ? Pour des petits plats à servir à table, des paniers de 15 cm, c’est parfait. Pour des accompagnements ou des portions pour deux, 20 cm, c’est une bonne base. Et pour les grosses cuissons, un 30 cm, c’est l’idéal. Et le nombre d’étages ? Deux ou trois, c’est généralement suffisant pour cuire plusieurs choses en même temps, en optimisant votre temps et l’énergie.
Ensuite, la qualité du bambou, c’est crucial. Ne faites pas de compromis là-dessus. Un bon cuit-vapeur doit avoir un tressage serré et régulier. Les parois doivent être épaisses, ça isole mieux et ça résiste mieux à la chaleur et à l’humidité. Vérifiez que les assemblages sont solides, sans agrafes métalliques qui rouillent. Un panier de qualité, c’est un investissement qui dure, un peu comme choisir de bons ustensiles à sushis : ça fait la différence dans la durée et la présentation.
Pour qu’un cuit-vapeur en bambou dure longtemps dans votre cuisine, il faut juste quelques habitudes simples. Le bambou, c’est naturel, donc il faut le traiter un peu différemment.
Après chaque service, la règle d’or : nettoyez-le tout de suite. Ne laissez pas les aliments sécher dedans. Rincez-le sous l’eau chaude, avec une brosse douce ou une éponge. Et surtout, c’est très important : n’utilisez jamais de savon ou de liquide vaisselle. Le bambou est poreux, il absorberait le savon et vos plats auraient un goût bizarre la prochaine fois. L’eau chaude suffit amplement. Si ça colle vraiment, laissez tremper quelques minutes dans l’eau chaude, puis rincez bien.
Le séchage, c’est l’étape la plus importante. Après le nettoyage, laissez votre cuit-vapeur sécher complètement à l’air libre, dans un endroit bien ventilé. Si vous le rangez humide, vous risquez les moisissures et les mauvaises odeurs. Ne l’enfermez jamais dans un sac ou un placard sans qu’il soit sec. Stockez-le dans un endroit sec, à l’abri de la poussière. C’est la même logique que pour entretenir vos bols en bambou ou autres ustensiles naturels : un petit soin régulier pour une grande durabilité.
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