L’expert fourniture pour hôteliers & restaurateurs.
Une inspection sanitaire surprise. Un client qui tombe malade. Un produit périssable jeté à cause d’une rupture dans la chaîne du froid.
Ce sont des scénarios que tout professionnel de la restauration redoute. Le point commun ? Un mauvais suivi des températures, un enjeu majeur pour tout produit thermosensible.
Le respect des températures n’est pas qu’une question de norme. C’est le garant de l’hygiène alimentaire, de la qualité de vos produits et de la confiance du consommateur. Le véritable enjeu est de garantir la sécurité de chaque denrée.
Du transport des matières premières à la distribution, chaque étape est critique pour un produit thermosensible. Mais comment garantir que tout est sous une température contrôlée ?
Le bon thermomètre alimentaire n’est pas un gadget. C’est l’outil qui vous aide à maintenir la température et à valider chaque maillon de la chaîne du froid comme de la chaîne du chaud. Ce guide est fait pour vous aider à choisir et à utiliser le bon équipement, au bon moment.
On pense souvent aux normes HACCP comme une pure contrainte administrative. Une ligne de plus à cocher. Mais la gestion de la température, ce n’est pas que du papier. C’est le pilier qui soutient la qualité de vos produits, la santé de vos clients, et permet de garantir la sécurité de tous et la réputation de votre commerce.
Ignorer un écart de quelques degrés peut sembler anodin. Pourtant, les conséquences d’une mauvaise gestion de la chaîne du froid ou du chaud sont bien réelles. Et elles coûtent cher.
Imaginez une livraison de poisson frais qui attend 30 minutes de trop à température ambiante sur le quai de réception en plein après-midi. Ou une soupe maintenue tiède, et non chaude, pendant la distribution. Dans cette plage de température, la zone de danger entre 4°C et 63°C, les bactéries se multiplient à une vitesse folle.
Le résultat ? Un risque direct d’intoxication alimentaire pour vos clients. C’est une situation qui peut détruire une réputation bâtie sur des années de travail.
Au-delà du danger pour la santé, une rupture de la chaîne du froid a un impact direct sur votre portefeuille. Une chambre froide mal réglée, un congélateur qui flanche pendant la nuit… et c’est une partie de votre stock de denrées d’origine animale qui part à la poubelle. C’est du gaspillage alimentaire, bien sûr, mais c’est surtout une perte financière sèche.
La base d’un bon contrôle qualité est de mesurer, vérifier et tracer. S’équiper avec les bons outils n’est pas une dépense, c’est un investissement pour sécuriser votre activité. Un contrôle régulier avec des thermomètres de cuisine adaptés à chaque étape, de la réception des marchandises à la distribution, est votre meilleure protection pour une maîtrise sanitaire complète.
La méthode HACCP n’est pas une formalité administrative. C’est un guide pratique basé sur des chiffres précis. Ces chiffres sont vos garde-fous pour la sécurité alimentaire. Les ignorer, c’est prendre un risque pour vos clients et votre établissement.
Le principe de fonctionnement est clair : garder les aliments soit très froids, soit très chauds, pour éviter la ‘zone de danger’ (entre 4°C et 63°C), où les bactéries prolifèrent.
Le froid ne tue pas les bactéries, il ralentit leur développement. Une bonne conservation au froid est donc la base d’une bonne hygiène.
Pour la réfrigération, la règle est de maintenir vos enceintes frigorifiques en froid positif, entre 0°C et 4°C. C’est la température idéale pour conserver la fraîcheur de vos viandes, poissons, produits laitiers ou préparations en attente de distribution. Ne vous fiez pas uniquement au thermostat de votre frigo. Un thermomètre indépendant placé à l’intérieur de votre réfrigérateur vous donnera une lecture fiable.
La congélation, elle, doit se faire à une température inférieure ou égale à -18°C, bien en dessous du point de congélation de l’eau. À cette température, la croissance microbienne est stoppée. Elle permet une conservation longue durée de vos denrées. Pensez à vérifier la température des produits surgelés dès leur livraison par votre distributeur avec une sonde pour contrôler que la chaîne du froid n’a pas été rompue durant le transport.
La chaleur, au contraire du froid, détruit les micro-organismes. Pour être efficace, il faut mesurer la température au cœur du produit.
La cuisson à cœur est la seule mesure qui confirme qu’un aliment est sain. Utiliser un thermomètre à sonde est le seul moyen de le vérifier. Voici quelques repères de températures à atteindre au centre de l’aliment :
| Type d’aliment | Température à cœur minimale |
|---|---|
| Volailles, viandes farcies | 74°C |
| Viandes hachées (bœuf, porc) | 70°C |
| Porc, gibier | 70°C |
| Plats réchauffés | 75°C (en moins d’une heure) |
Une fois cuites, les préparations destinées à une distribution chaude (buffets, cantines, passe-plats) doivent être maintenues à une température de maintien supérieure à 63°C. C’est ce qu’on appelle le maintien au chaud.
Cette étape évite toute recontamination ou développement bactérien avant que la préparation n’arrive au client. Pour garder vos assiettes prêtes au départ du passe-plat, des équipements comme les lampes infrarouges chauffantes sont une solution efficace pour maintenir la chaîne du chaud sans dessécher le produit.
Maintenant que vous connaissez les températures clés, il faut les bons outils pour les mesurer. Tous les thermomètres ne se valent pas. En fait, vous avez besoin de deux types principaux pour couvrir 99% de vos besoins en cuisine. L’un pour la précision, l’autre pour la rapidité.
Penser qu’un seul outil peut tout faire, c’est comme essayer de couper un oignon avec une cuillère. Ça ne marche pas. Voici notre conseil pour savoir quel thermomètre utiliser, et surtout, quand.
Le thermomètre à sonde, c’est votre outil de confiance pour une prise de température exacte. C’est le seul qui vous donne la température au cœur d’un produit. Un pilier pour la sécurité alimentaire et la conformité HACCP.
Vous l’utilisez pour vérifier la cuisson d’une volaille, la température d’une terrine en refroidissement, ou pour contrôler une livraison de viande. La sonde fine pénètre l’aliment et vous donne une lecture précise, là où ça compte vraiment. C’est la seule preuve que vous avez que votre produit est sain. Certains modèles avec enregistreur permettent de conserver cette preuve.
Quand l’utiliser ?
Cette technologie est la base pour un suivi HACCP rigoureux.
L’infrarouge, c’est votre allié pour la vitesse. Vous visez, vous appuyez, vous avez la température. En une seconde. Sans contact.
Son grand avantage, c’est qu’il permet de faire une prise de mesure très vite et sans risquer de contamination croisée, puisque vous ne touchez à rien. Parfait pour un premier contrôle rapide à la réception ou pour surveiller vos équipements.
Imaginez : vous pouvez vérifier la température de surface de chaque carton d’une palette de yaourts en moins d’une minute. Ou contrôler que votre plancha est à la bonne température avant la mise en place.
Mais attention, il y a un piège.
Ce type de capteur ne mesure QUE la surface. Il ne vous dira jamais si le cœur d’un produit congelé est en train de décongeler. Cette technologie, parfois sur un appareil connecté qui envoie les données en temps réel, mesure la température de l’emballage, pas de la denrée à l’intérieur.
Utilisez-le comme un outil de dépistage. Si une surface est anormalement chaude ou froide, alors vous sortez votre thermomètre à sonde pour un contrôle de température en profondeur. Les deux sont complémentaires, ils ne se remplacent pas. Ces outils font partie des accessoires de cuisine qui facilitent le quotidien tout en renforçant l’hygiène.
Votre préparation est parfaite. Elle sort de la cuisine à la bonne température, prête à être dégustée. Mais entre votre porte et celle du client, il y a une zone de risque : le transport.
C’est souvent le dernier maillon de la chaîne logistique, et le plus fragile. Un trajet un peu long, un embouteillage… et la température de votre produit peut chuter ou grimper dans la zone de danger. La qualité et la sécurité alimentaire que vous avez mis tant de soin à construire peuvent être compromises en quelques minutes.
La solution ? Ne pas laisser la température au hasard.
Le transport n’est pas juste un déplacement. C’est une phase qui impacte le temps de conservation. Pour cela, l’équipement isotherme n’est pas une option. C’est une obligation de moyen conforme à la réglementation en vigueur pour garantir le respect de la chaîne du froid ou du chaud.
Pour des livraisons individuelles ou des petites quantités, les boîtes isothermes sont vos meilleures alliées. Elles sont conçues pour maintenir une préparation chaude ou des denrées froides à la bonne température le temps du trajet. C’est parfait pour une activité traiteur qui livre des repas à domicile ou pour un restaurant qui propose des préparations à emporter premium.
Lorsque les volumes augmentent, pour des événements ou des livraisons multiples, il faut passer à la vitesse supérieure. Pour des volumes plus importants, un engin équipé d’un groupe frigorifique devient nécessaire. Les solutions de transport pour repas à emporter, comme les caissons ou les conteneurs isothermes, prennent le relais. Ils permettent de sécuriser plusieurs commandes à la fois, en maintenant une température constante et homogène pour l’ensemble du chargement.
Avoir le bon contenant, c’est bien. Prouver que la température a été maintenue, c’est mieux. Une surveillance active est donc recommandée.
La procédure est directe mais elle fait toute la différence. Avant de fermer votre boîte ou votre caisson, faites une prise de température à cœur de votre produit avec un thermomètre à sonde. C’est votre point de départ.
Idéalement, un contrôle peut aussi être fait à l’arrivée, surtout pour des liaisons longues ou des produits très sensibles. Votre distributeur peut aussi le faire à la réception de votre engin de livraison. Ce relevé de température est votre meilleure défense en cas de contrôle d’hygiène et le meilleur gage de qualité pour votre client.
Le transport n’est plus une zone d’incertitude. Avec le bon équipement et un contrôle rigoureux, c’est simplement le prolongement de votre cuisine.
Vous avez le bon thermomètre. C’est un excellent début. Mais s’il est perdu sous une pile de bons de commande ou si votre chambre froide ressemble à un champ de bataille, il ne sert à rien.
L’organisation du froid en restauration n’est pas une question d’esthétique. C’est un pilier de la sécurité alimentaire. Un oubli, une denrée mal rangée, et la chaîne du froid peut être rompue sans même que vous vous en rendiez compte. C’est là que le contrôle de la température se joue vraiment.
Le rangement en cuisine pro, ce n’est pas juste ‘mettre les choses à leur place’. C’est une méthode. Une méthode qui protège vos produits, respecte les normes d’hygiène et fait gagner un temps précieux à votre équipe.
Tout part d’un principe de base : chaque chose a une place, et chaque place est pensée pour la sécurité. Séparez les produits selon leur origine et leur nature. Définissez des zones claires dans vos enceintes de réfrigération pour chaque groupe de produits : une zone réfrigérée, une autre à température contrôlée, pour un stockage conforme.
Le contenant est aussi important que le contenu. Un bon récipient protège le produit de l’air, de l’humidité et des contaminants, et organise l’espace de stockage pour une meilleure circulation de l’air froid.
L’utilisation d’un conditionnement et de récipients de stockage adaptés au monde professionnel est une évidence. Ils sont conçus pour supporter les chocs thermiques et les nettoyages intensifs. Les récipients en inox 18/8, par exemple, sont une référence recommandée par plus d’un fabricant pour leur durabilité, leur hygiène et leur capacité à refroidir rapidement les préparations.
Ensuite, l’étiquetage.
Une étiquette claire avec le nom du produit, sa date d’entrée et sa température de conservation est la base de la méthode ‘Premier Entré, Premier Sorti’ (FIFO). Cette pratique de bon sens évite le gaspillage et maintient la fraîcheur de chaque denrée alimentaire. C’est un point de contrôle HACCP incontournable.
Enfin, vos thermomètres portables doivent avoir leur propre ‘maison’. Un support mural propre, à un endroit stratégique comme la zone de réception ou près du passe-plat. Ainsi, le réflexe d’évaluer la condition de chaque produit par un contrôle de température devient une seconde nature, pas une corvée.
On pense souvent aux normes HACCP comme une pure contrainte administrative. Une ligne de plus à cocher. Mais la gestion de la température, ce n’est pas que du papier. C’est le pilier qui soutient la qualité de vos produits, la santé de vos clients, et permet de garantir la sécurité de tous et la réputation de votre commerce.
Ignorer un écart de quelques degrés peut sembler anodin. Pourtant, les conséquences d’une mauvaise gestion de la chaîne du froid ou du chaud sont bien réelles. Et elles coûtent cher.
Imaginez une livraison de poisson frais qui attend 30 minutes de trop à température ambiante sur le quai de réception en plein après-midi. Ou une soupe maintenue tiède, et non chaude, pendant la distribution. Dans cette plage de température, la zone de danger entre 4°C et 63°C, les bactéries se multiplient à une vitesse folle.
Le résultat ? Un risque direct d’intoxication alimentaire pour vos clients. C’est une situation qui peut détruire une réputation bâtie sur des années de travail.
Au-delà du danger pour la santé, une rupture de la chaîne du froid a un impact direct sur votre portefeuille. Une chambre froide mal réglée, un congélateur qui flanche pendant la nuit… et c’est une partie de votre stock de denrées d’origine animale qui part à la poubelle. C’est du gaspillage alimentaire, bien sûr, mais c’est surtout une perte financière sèche.
La base d’un bon contrôle qualité est de mesurer, vérifier et tracer. S’équiper avec les bons outils n’est pas une dépense, c’est un investissement pour sécuriser votre activité. Un contrôle régulier avec des thermomètres de cuisine adaptés à chaque étape, de la réception des marchandises à la distribution, est votre meilleure protection pour une maîtrise sanitaire complète.
La méthode HACCP n’est pas une formalité administrative. C’est un guide pratique basé sur des chiffres précis. Ces chiffres sont vos garde-fous pour la sécurité alimentaire. Les ignorer, c’est prendre un risque pour vos clients et votre établissement.
Le principe de fonctionnement est clair : garder les aliments soit très froids, soit très chauds, pour éviter la ‘zone de danger’ (entre 4°C et 63°C), où les bactéries prolifèrent.
Le froid ne tue pas les bactéries, il ralentit leur développement. Une bonne conservation au froid est donc la base d’une bonne hygiène.
Pour la réfrigération, la règle est de maintenir vos enceintes frigorifiques en froid positif, entre 0°C et 4°C. C’est la température idéale pour conserver la fraîcheur de vos viandes, poissons, produits laitiers ou préparations en attente de distribution. Ne vous fiez pas uniquement au thermostat de votre frigo. Un thermomètre indépendant placé à l’intérieur de votre réfrigérateur vous donnera une lecture fiable.
La congélation, elle, doit se faire à une température inférieure ou égale à -18°C, bien en dessous du point de congélation de l’eau. À cette température, la croissance microbienne est stoppée. Elle permet une conservation longue durée de vos denrées. Pensez à vérifier la température des produits surgelés dès leur livraison par votre distributeur avec une sonde pour contrôler que la chaîne du froid n’a pas été rompue durant le transport.
La chaleur, au contraire du froid, détruit les micro-organismes. Pour être efficace, il faut mesurer la température au cœur du produit.
La cuisson à cœur est la seule mesure qui confirme qu’un aliment est sain. Utiliser un thermomètre à sonde est le seul moyen de le vérifier. Voici quelques repères de températures à atteindre au centre de l’aliment :
| Type d’aliment | Température à cœur minimale |
|---|---|
| Volailles, viandes farcies | 74°C |
| Viandes hachées (bœuf, porc) | 70°C |
| Porc, gibier | 70°C |
| Plats réchauffés | 75°C (en moins d’une heure) |
Une fois cuites, les préparations destinées à une distribution chaude (buffets, cantines, passe-plats) doivent être maintenues à une température de maintien supérieure à 63°C. C’est ce qu’on appelle le maintien au chaud.
Cette étape évite toute recontamination ou développement bactérien avant que la préparation n’arrive au client. Pour garder vos assiettes prêtes au départ du passe-plat, des équipements comme les lampes infrarouges chauffantes sont une solution efficace pour maintenir la chaîne du chaud sans dessécher le produit.
Maintenant que vous connaissez les températures clés, il faut les bons outils pour les mesurer. Tous les thermomètres ne se valent pas. En fait, vous avez besoin de deux types principaux pour couvrir 99% de vos besoins en cuisine. L’un pour la précision, l’autre pour la rapidité.
Penser qu’un seul outil peut tout faire, c’est comme essayer de couper un oignon avec une cuillère. Ça ne marche pas. Voici notre conseil pour savoir quel thermomètre utiliser, et surtout, quand.
Le thermomètre à sonde, c’est votre outil de confiance pour une prise de température exacte. C’est le seul qui vous donne la température au cœur d’un produit. Un pilier pour la sécurité alimentaire et la conformité HACCP.
Vous l’utilisez pour vérifier la cuisson d’une volaille, la température d’une terrine en refroidissement, ou pour contrôler une livraison de viande. La sonde fine pénètre l’aliment et vous donne une lecture précise, là où ça compte vraiment. C’est la seule preuve que vous avez que votre produit est sain. Certains modèles avec enregistreur permettent de conserver cette preuve.
Quand l’utiliser ?
Cette technologie est la base pour un suivi HACCP rigoureux.
L’infrarouge, c’est votre allié pour la vitesse. Vous visez, vous appuyez, vous avez la température. En une seconde. Sans contact.
Son grand avantage, c’est qu’il permet de faire une prise de mesure très vite et sans risquer de contamination croisée, puisque vous ne touchez à rien. Parfait pour un premier contrôle rapide à la réception ou pour surveiller vos équipements.
Imaginez : vous pouvez vérifier la température de surface de chaque carton d’une palette de yaourts en moins d’une minute. Ou contrôler que votre plancha est à la bonne température avant la mise en place.
Mais attention, il y a un piège.
Ce type de capteur ne mesure QUE la surface. Il ne vous dira jamais si le cœur d’un produit congelé est en train de décongeler. Cette technologie, parfois sur un appareil connecté qui envoie les données en temps réel, mesure la température de l’emballage, pas de la denrée à l’intérieur.
Utilisez-le comme un outil de dépistage. Si une surface est anormalement chaude ou froide, alors vous sortez votre thermomètre à sonde pour un contrôle de température en profondeur. Les deux sont complémentaires, ils ne se remplacent pas. Ces outils font partie des accessoires de cuisine qui facilitent le quotidien tout en renforçant l’hygiène.
Votre préparation est parfaite. Elle sort de la cuisine à la bonne température, prête à être dégustée. Mais entre votre porte et celle du client, il y a une zone de risque : le transport.
C’est souvent le dernier maillon de la chaîne logistique, et le plus fragile. Un trajet un peu long, un embouteillage… et la température de votre produit peut chuter ou grimper dans la zone de danger. La qualité et la sécurité alimentaire que vous avez mis tant de soin à construire peuvent être compromises en quelques minutes.
La solution ? Ne pas laisser la température au hasard.
Le transport n’est pas juste un déplacement. C’est une phase qui impacte le temps de conservation. Pour cela, l’équipement isotherme n’est pas une option. C’est une obligation de moyen conforme à la réglementation en vigueur pour garantir le respect de la chaîne du froid ou du chaud.
Pour des livraisons individuelles ou des petites quantités, les boîtes isothermes sont vos meilleures alliées. Elles sont conçues pour maintenir une préparation chaude ou des denrées froides à la bonne température le temps du trajet. C’est parfait pour une activité traiteur qui livre des repas à domicile ou pour un restaurant qui propose des préparations à emporter premium.
Lorsque les volumes augmentent, pour des événements ou des livraisons multiples, il faut passer à la vitesse supérieure. Pour des volumes plus importants, un engin équipé d’un groupe frigorifique devient nécessaire. Les solutions de transport pour repas à emporter, comme les caissons ou les conteneurs isothermes, prennent le relais. Ils permettent de sécuriser plusieurs commandes à la fois, en maintenant une température constante et homogène pour l’ensemble du chargement.
Avoir le bon contenant, c’est bien. Prouver que la température a été maintenue, c’est mieux. Une surveillance active est donc recommandée.
La procédure est directe mais elle fait toute la différence. Avant de fermer votre boîte ou votre caisson, faites une prise de température à cœur de votre produit avec un thermomètre à sonde. C’est votre point de départ.
Idéalement, un contrôle peut aussi être fait à l’arrivée, surtout pour des liaisons longues ou des produits très sensibles. Votre distributeur peut aussi le faire à la réception de votre engin de livraison. Ce relevé de température est votre meilleure défense en cas de contrôle d’hygiène et le meilleur gage de qualité pour votre client.
Le transport n’est plus une zone d’incertitude. Avec le bon équipement et un contrôle rigoureux, c’est simplement le prolongement de votre cuisine.
Vous avez le bon thermomètre. C’est un excellent début. Mais s’il est perdu sous une pile de bons de commande ou si votre chambre froide ressemble à un champ de bataille, il ne sert à rien.
L’organisation du froid en restauration n’est pas une question d’esthétique. C’est un pilier de la sécurité alimentaire. Un oubli, une denrée mal rangée, et la chaîne du froid peut être rompue sans même que vous vous en rendiez compte. C’est là que le contrôle de la température se joue vraiment.
Le rangement en cuisine pro, ce n’est pas juste ‘mettre les choses à leur place’. C’est une méthode. Une méthode qui protège vos produits, respecte les normes d’hygiène et fait gagner un temps précieux à votre équipe.
Tout part d’un principe de base : chaque chose a une place, et chaque place est pensée pour la sécurité. Séparez les produits selon leur origine et leur nature. Définissez des zones claires dans vos enceintes de réfrigération pour chaque groupe de produits : une zone réfrigérée, une autre à température contrôlée, pour un stockage conforme.
Le contenant est aussi important que le contenu. Un bon récipient protège le produit de l’air, de l’humidité et des contaminants, et organise l’espace de stockage pour une meilleure circulation de l’air froid.
L’utilisation d’un conditionnement et de récipients de stockage adaptés au monde professionnel est une évidence. Ils sont conçus pour supporter les chocs thermiques et les nettoyages intensifs. Les récipients en inox 18/8, par exemple, sont une référence recommandée par plus d’un fabricant pour leur durabilité, leur hygiène et leur capacité à refroidir rapidement les préparations.
Ensuite, l’étiquetage.
Une étiquette claire avec le nom du produit, sa date d’entrée et sa température de conservation est la base de la méthode ‘Premier Entré, Premier Sorti’ (FIFO). Cette pratique de bon sens évite le gaspillage et maintient la fraîcheur de chaque denrée alimentaire. C’est un point de contrôle HACCP incontournable.
Enfin, vos thermomètres portables doivent avoir leur propre ‘maison’. Un support mural propre, à un endroit stratégique comme la zone de réception ou près du passe-plat. Ainsi, le réflexe d’évaluer la condition de chaque produit par un contrôle de température devient une seconde nature, pas une corvée.
Écoute, c’est vrai qu’on pense souvent aux normes comme une corvée. Mais en cuisine pro, bien gérer les températures, c’est bien plus qu’une case à cocher. C’est surtout pour la santé de vos clients et la réputation de votre établissement.
Si une viande reste trop longtemps tiède ou un produit froid se réchauffe, les bactéries se mettent à proliférer super vite. Ça, ça peut entraîner des intoxications alimentaires. Personne ne veut ça, n’est-ce pas ?
Et puis, il y a le côté financier. Une rupture de la chaîne du froid, c’est aussi du gaspillage. Une chambre froide qui lâche, un congélateur en panne… c’est tout un stock qui part à la poubelle. C’est de l’argent perdu, direct.
Donc, utiliser les bons thermomètres de cuisine et vérifier régulièrement, c’est un investissement. C’est la meilleure assurance pour que tout soit parfait, du début à la fin de la production jusqu’à l’assiette.
C’est une excellente question, parce que les deux sont importants, mais ils ne servent pas à la même chose. C’est un peu comme avoir un couteau de chef et un économe : chacun a son rôle bien précis.
Le thermomètre à sonde, c’est ton outil pour la précision. C’est lui qui te donne la température exacte au cœur d’un produit. C’est crucial quand la sécurité est en jeu.
C’est indispensable pour la sécurité alimentaire, vraiment.
Le thermomètre infrarouge, lui, c’est pour la rapidité. Il mesure la température de surface, sans contact. C’est super pratique pour des contrôles rapides.
Mais attention, il ne voit pas à l’intérieur ! Si tu détectes une anomalie en surface, là, tu sors ta sonde pour aller voir ce qui se passe vraiment au cœur du produit. Ils sont complémentaires, tu vois ? Utilise-les ensemble pour une efficacité maximale.
C’est un point crucial, ce trajet entre ta cuisine et la porte du client. La chaîne du froid et du chaud doit être respectée jusqu’au bout, car même un plat parfait peut être gâché si la température n’est pas maintenue.
La première chose, c’est le bon emballage. Pour les livraisons individuelles, utilise des boîtes isothermes. Elles sont faites pour ça, pour garder le plat chaud ou froid le temps du trajet. C’est un peu comme une mini-chambre froide ou un four portatif pour tes produits.
Si tu gères des volumes plus importants, comme pour un traiteur ou plusieurs livraisons, il te faut des solutions de transport de repas à emporter plus robustes, comme des caissons. Ça assure une température stable et homogène pour toutes les commandes.
Et le plus important, c’est la preuve ! Avant de fermer ton contenant, prends la température à cœur de ton plat avec une sonde. C’est ton point de départ. Et si c’est une longue liaison, fais un autre contrôle à l’arrivée. Ce simple relevé, c’est ta garantie de qualité pour le client et ta protection en cas de contrôle d’hygiène.
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